Les problèmes dans les familles aujourd’hui

les problèmes dans les familles aujourd’hui.

Une autre question : les problèmes dans les familles aujourd’hui.
Aujourd’hui il y a beaucoup de problèmes à cause des enfants ; il y en a qui
vivent en couple sans être mariés, et ils vivent en état de péché mortel ; et
nous qui sommes catholiques, nous devons reconnaître que vivre avec une
autre personne (sans être marié), c’est vivre en état de péché
mortel. Malheureusement, il apparaît que très souvent, les parents acceptent
que leurs enfants vivent dans ces conditions, et ils collaborent ainsi à cette
situation que leurs enfants ont choisie. Alors ce n’est pas que nous n’aimons
pas nos enfants, car le cœur d’une mère ne peut haïr un enfant ; mais une
maman chrétienne, ne saurait accepter que ses enfants vivent sous son toit
de cette manière, car ainsi elle collabore et consent à leurs péchés. Si votre
fils frappe à la porte, sachant dans quel état il vit, en tant que mère, vous
ouvrez la porte et vous l’embrassez. S’il demande à déjeuner, vous lui
préparez à manger ; et s’il désire passer la nuit à la maison, vous faites son
lit. Mais vous ne pouvez accepter que votre fils dorme sous votre toit en
partageant sa chambre avec son amie. La maman doit toujours être là où se
trouve son fils, mais elle ne doit pas collaborer et consentir au péché que son
fils est en train de commettre. Et malheureusement, je vous parle en
connaissance de cause.
Pour ma part, je préfère pleurer ici-bas, et je pense que ces larmes serviront
à quelque chose, plutôt que de collaborer avec le péché. Et je vous le dis car
j’ai un fils qui est marié civilement ; je ne le vois pas depuis sept ans, alors
que nous habitons la même ville, parce que je lui ai demandé de se marier à
l’Eglise. C’est un enfant très bon mais je ne peux pas accepter ce péché.
J’en souffre beaucoup et souvent j’ai envie de prendre le téléphone et de
l’appeler et de lui dire : mais pourquoi es-tu ainsi ? Mais il m’a dit : « Ou
c’est Dieu ou c’est moi ». Je lui ai répondu : « Je choisis Dieu avant toi ».
Or je vous dis que je n’ai jamais rien eu de plus grand que mes enfants
; mais je mets Dieu à la première place. Si un fils vient à la maison, je ne
vais pas le mettre à la porte. Mais s’il vient accompagné, je ne veux pas être
complice de l’offense faite envers Dieu. Et il y en a qui disent : « En voilà
une mère ! » La seule chose que j’ai eue dans ma vie, ce sont mes enfants.
J’ai perdu ma mère dans ma plus tendre enfance, et je n’ai eu personne dans
ma vie ; la seule chose que j’ai aimé à la folie, ce sont mes enfants. Mais
Dieu, je L’aime encore plus ! Et je pleure tous les jours, mais j’espère que
ces larmes serviront pour qu’un jour, mon fils se rende compte et dise : « Eh

bien, Dieu existe ». Et je ne suis pas la première femme à avoir agi
ainsi. Voyez Sainte Monique : elle a mis son fils à la porte ; bien sûr, je ne
suis pas Sainte Monique et je n’arrive pas à sa hauteur. Mais je m’efforce
d’aimer Dieu de tout mon cœur et je m’efforce de ne pas consentir à
l’offense commise envers Dieu.

Laisser un commentaire